En construction
Laffaire
signe lépoque. La santé de milliers de personnes
a été très gravement affectée par
des pollutions de lair, de leau, des sols
, qui
se sont perpétuées depuis des décennies jusquà
aujourdhui dans des proportions extravagantes.
A lorigine des mines, depuis longtemps abandonnées.
Depuis des années les riverains se révoltent, les
experts expertisent, les pouvoirs publics procrastinent, les medias
dénoncent le scandale...
« Lobligation
dendurer nous donne le droit de savoir.
Et le fait de savoir nous offre la possibilité du changement.
»
Rachel
Louise Carson
Mots clé
Bergbaurisiken
und Umweltverschmutzung in den Cevennen - Risks and Mining
Pollution in the Cévennes - Riscos de mineração
e poluição em Cévennes - Rischi minerarie
e l'inquinamento nelle Cévennes - Riesgos minería
y la contaminación en la región de Cevennes
- Zagro?enia górnicze i zanieczyszcze? w Cevennes -
Riscos mineria i la contaminació a la regió
de Cevennes - Plomb - Arsenic - Cadnium -antimoine - thallium
- Zinc - Plomo - Arsénico - Cadmio - Lead - bruit de
fond -Générargue
Informer
pour mieux nourrir le débat
Depuis 2015, nous développons
le dossier relatif a l'exploitation minières
en France, en Occitanie, dans le Gard.
, nous assistons, , et participons au Comité
de Suivi des Risques et Pollutions minières
dans le Gard.
Depuis 2016, c'est en ma qualité de président
de l'Association
Causses-Cévennes d'action citoyenne
que j'assiste à ces réunions sur invitation
du Préfet du Gard.
Les actions de l'Etat sur les sites orphelins sont
menées par l'ADEME, comme :
Saint-Laurent-le-Miner
Carnoules,
Saint-Sebastien-d'Aigrefeuille et Générargues
Les actions de l'Etat sur les sites miniers dont
l'exploitant est toujours propriétaire sont
suivies par DRAEL
Saint-Félix-de-Pallières,
Thoiras et Tornac
Villemagne
Notre outil de communication est le site internet
http://www.accac.eu/,
il est accessible à tous.
Risques
et pollutions minières en France
Ces
informations sont essentielles pour l'hygiène
de vie des habitants qui vivent dans les sites pollués,
essentielles pour les mairies pour les dans l'élaboration
de leur PLU, essentielles pour les transactions immobilières,
essentielle pour le suivi de la chaine alimentaire,
etc...
Sans prendre parti, cette base de données
essaye de mieux documenter nos lecteurs, avec des
documents administratifs, articles de presse, rapports,
thèses, études, vidéos, opinons,
actions menées par des associations, sites
internet, etc.
Fort de ces documents nous sommes en mesure de souligner
les actions remarcables menées sous la direction
du Préfet du Gard Didier Lauga, avec les services
de l'Etat, dans le cadre du Comité de et d'Informations
des risques et pollution minières dans le Gard.
..
|
La qualité
des eaux de baignades dans le Reigoux et l'Amous
Comme vous pouvez
le lire, ce n'est pas pour l'absence de surveillance de
ces 2 ruisseaux que la baignade est interdite à Saint-Sébasten-d'Aigrefeuille,
mais due à un taux élevé d'arsenic
et de métaux lourds.
C'est donc la première analyse d'eau de baignade
où les métaux lourds font l'objet d'une analyse.
Notre association
demande depuis plusieurs années que les analyses
des éléments physicochimiques, de eaux de
baignade du Gardon d'Anduze et de ses afluents fasse l'objet
d'analyse.
Observatoire
de l'ancien site minier de Carnoulès
Accueil Bases de données Pollution en aval
de sites miniers Carnoules Graphiques et export des
données
Les données acquises par le laboratoire HydroSciences
Montpellier sont disponibles et téléchargeables
via le site web de lOSU OREME, service dobservation
POLLUMINE :
https://data.oreme.org/carnoules/graphs
Observatoire
Carnoulès du Service dObservation POLLUMINE
de lOSU OREME
Corinne Casiot HydroSciences Montpellier
Les déchets issus de lexploitation de
minerais métalliques, entreposés sans
précaution, constituent une source de pollution
du milieu aquatique par les métaux (Pb, Cd,
Tl
) et métalloïdes (As, Sb
).
Ces pollutions perdurent des centaines dannées
après la fermeture des mines ; elles affectent
durablement la qualité de leau en aval
des sites et peuvent dans
certains cas présenter un risque sanitaire
pour les populations environnantes.
Toutefois, des processus naturels datténuation
permettent de limiter la dissémination des
polluants en les piégeant sous une forme stable
ou en les transformant en composés moins toxiques
ou moins mobiles. Ces processus font intervenir des
espèces microbiennes adaptées à
ces environnements pollués.
La colonisation des milieux et les processus de transformation
des polluants qui en découlent sont longs à
se mettre en place ; ils sont sous linfluence
dune forte variabilité climatique interannuelle
et dévénements extrêmes
(sécheresse, précipitations intenses)
caractéristiques du bassin Méditerranéen.
Cest pourquoi un suivi sur le long terme de
ces sites est nécessaire,
aussi bien en ce qui concerne les processus (physico-chimiques,
microbiologiques, hydrologiques) de mobilisation,
transformation et piégeage des polluants métalliques,
que pour ce qui relève de la colonisation de
ces milieux par des microorganismes adaptés
aux
environnements miniers pollués.
Un ancien site minier gardois, caractéristique
de la géologie et du type de minéralisation
à plomb-zinc retrouvé sur le bassin
Méditerranéen, fait lobjet de
suivis dans le cadre du Service dObservation
: lancien site minier de Carnoulès, impacté
par le phénomène de drainage minier
acide (DMA) induisant une mobilisation des métaux
et de larsenic vers le milieu aquatique.
Questions
scientifiques.
Les suivis systématiques sur le site de Carnoulès
ont pour objectif délucider les interrelations
qui existent entre les caractéristiques physico-chimiques
des eaux minières, la structure des communautés
microbiennes (bactéries, archaea, eucaryotes)
et labondance de certaines populations impliquées
dans latténuation naturelle de larsenic
et du fer. Les processus microbiologiques affectant
le cycle des métaux et métalloïdes
dans lhydrosystème en aval de DMAs sont
également étudiés.
Observations
Les observations effectuées sur le site de
Carnoulès dans le cadre de la Tâche dObservation
« Observatoire de lancien site minier
de Carnoulès » concernent notamment les
principaux paramètres physico-chimiques des
eaux du ruisseau du Reigous et de la rivière
Amous, ainsi que les concentrations en métaux
et métalloïdes dans la fraction dissoute
(après filtration à 0,22 µm),
les communautés microbiennes dans les eaux
et sédiments.
|
Quelques centaines
de métre en aval, aux dires de monsieurs le maire
de Guénérargues, «
il n'y a aucune raison d'interdire la baignade !»
L'Amous
à quelques dizaines de métre de la mairie
!
Pour
une politique cohérente de signalisation publique
applicable aux risques miniers et industrels pollués
Proposition
pour le panneautage
L'ACCAC se veut être source de propositions. Fort
d'un groupe de travail composé d'un groupe d'habitants
de la région d'Anduze, d'associations locales
et régionales et nationales, d'éminent
toxicologues, de journalistes chercheurs et citoyens,
nous avons émis des propositions avec l'espoir
d'être entendu et de contribuer à la mise
en place de mesures efficaces dans un seul but : informer
dans la plus grande transparence..
L'objectif
: protéger la population de toutes expositions
accidentelles à de matières dangereuses
pour la santé de l'homme et de l'animal grâce
à la mise en place d'une signalisation applicable
aux innombrables sites miniers en prenant comme premiers
exemples les sites miniers de Saint-Félix-de-Pallières,
Tornac, Thoiras, Anduze, Saint-Sébastein-d'Aigrefeuilles,
Durfort, Fressac, Saint-Laurent-le-Minier, Villemagne
dans le Gard et en France.
Il y auait plus de 3 500 sites pollués sur
tout le territoire.
Evidement
ce panneau ne doit être mis en place que sur les
quelques sites comme les haldes, les drainages acides
minier, les laveries où la toxicité le
justifie !
Une regard intéressant
sur ce difficile sujet.
Aprés
le rapport du CGDED-IGAS, l'étude
de l'INVS, alors qu'aucune mesure de dépolution
n'a été prise à Anduze, Saint-Félix
de Pallières, Tornac, Thoiras, Durfort, Fressac,
Saint-Sébastien-d'Aigrefeuille, Saint-Laurent-le-Minier,
Villemagne, etc...une nouvelle étude va être
réalisée.
Source : Santé
publique France
L'étude
et les annexes
ÉTUDE
DIMPRÉGNATION AU PLOMB, À LARSENIC ET
AU CADMIUM AUTOUR
DANCIENS SITES MINIERS DANS LE GARD
Questions
Réponses
Les auditions
Parties prenantes
auditionnées :
M. Beaud - ancien maire de Saint-Sébastien-d'Aigrefeuille,
Mme Vigne - maire de Tornac, Dr François SIMON, riverain
et président ADAMVM
Dr Béatrice SENEMAUD - ARS Occitanie,
M. Philippe CHARTIER/Mme Sandrine ILIOU - DREAL Occitanie,
M. Jean-François NARBONNE, M. André PICOT, toxicologue
- ATC
M. Johnny BOWIE, riverain.
AUDITIONS_SPF_140917_DGS_VF-3.PDF
SPF_ENTRETIENS_PARTIES_PRENANTES270317_PNValide.pdf
SPF_ENTRETIENS_PARTIES_PRENANTES270317_JBValide.pdf
SPF_ENTRETIENS_PARTIES_PRENANTES270317_FS-1.PDF
SPF_ENTRETIENS_PARTIES_PRENANTES270317_BS_14052018.pdf
QXA
- AUDITIONS_SPF_140917_UMICORE.PDF
AUDITIONS_SPF_140917_DGPR_VF-1.PDF
Auditions
DSE SPF 15 septembre 2017_VIGNE_VF.PDF
Auditions
DSE SPF 15 septembre 2017_BEAUD_VF.PDF
20180702_SPF_ENTRETIENS_PARTIES_PRENANTES270317_DrealValide.pdf
Inspection
générale des affaires sociales
Contamination
par les métaux lourds d'habitants proches d'anciens sites
miniers du Gard
A.Besson (IGAS) A.Delaunay et P.Tardivon (CGEDD)
Un petit village, Carnoules à Saint
Sebastien d'Aigrefeuille,
grâce aux services de l'état,
efface une cicatrice d'un lourd passé minier.
Sous la
direction de l'ADEME, TESORA, INRA et ICF ont relevé ce
défit. Il ne faut pas oublier les nombreux sous-traitants
(Foreziennes Entreprises, BPSTP, Amiantes Cévennes et ceux
que j'oublie.)
Il
n'a plus qu'a pleuvoir pour que l'herbe recouvre le sol. Les résultats
sont à saluer. Voila le coté paysager bien traité,
pour l'impact sur l'Amous, il faut attendre pour constater si
progrès il y a !
Situé dans une magnifique vallée
de nos contrefort cévenol, Saint
Sebastien d'Aigrefeuille,
proche d'Anduze et de la Banbouzeraie de Pratfrance, retrouve
toute sa beauté.
La Bambouseraie de Prafrance fut créée en
1856 par Eugène Mazel, un cévenol passionné
de botanique. Jeune orphelin, il est confié à
son oncle maternel, un riche armateur marseillais. À
la mort de celui-ci, il hérite d'une fortune qu'il
met au service de sa passion pour l'horticulture et les
sciences naturelles. En 1855, il débute l'aménagement
du domaine de Prafrance à Générargues
et construit les canaux d'irrigation essentiels à
la croissance des végétaux. En 1856, il
réalise ses premières plantations de bambous
Phyllostachys Mitis, Phyllostachys viridiglaucescens et
Phyllostachys edulis, et essaie d'acclimater des espèces
exotiques en provenance du Japon, d'Amérique du
Nord et de la région himalayenne.
En 1890, Mazel subit des revers de fortune entraînant
sa faillite. Ses biens sont hypothéqués
et, séparé de son uvre, il meurt à
Marseille. En 1902, Gaston Nègre achète
la Bambouseraie et poursuit l'uvre de Mazel. En
1945, son fils Maurice Nègre, ingénieur
agronome, prend la relève de son père et
avant-gardiste, ouvre le parc au public moyennant un droit
d'entrée. Le parc fut très gravement endommagé
par les inondations du Gardon, en 1958. À la mort
de Maurice Nègre, en 1960, cest son épouse
Janine, qui continua l'uvre de son mari. En 1977,
sa fille Muriel et son mari (ingénieur agronome)
prirent en main la gestion du domaine et le développement
du parc.
Depuis 2004, cest Muriel Nègre qui préside
à la destinée de la bambouseraie qui devient
Jardin remarquable en 2005 et fut inscrite sur la liste
supplémentaire des monuments historiques en 2008.
La bambouseraie en Cévennes (connue aussi sous
le nom Bambouseraie d'Anduze) est un jardin exotique situé
à Générargues dans le Gard.
Unique en Europe par ses dimensions, la bambouseraie
en Cévennes se situe dans un domaine d'une superficie
de 34 hectares (le parc, seule partie ouverte au public,
couvre à lui seul 15 hectares) à 11 km au
sud-ouest dAlès et à 2 km au nord
dAnduze. Elle contient des bambous plantés
à partir de 1856 par Eugène Mazel.
C'est un parc ouvert au public, qui comprend :
une forêt de bambous géants ;
le bambousarium : propose sur une petite surface une sélection
de différentes espèces de bambous présents
sur le site ;
un jardin dinspiration japonaise ;
un labyrinthe ;
un village laotien ;
le vallon du Dragon : ce jardin japonais créé
en 2000 (année du Dragon), sétend
sur 15 000 m2 et repose sur les principes du Feng Shui
;
des serres construites en 1860 par Eugène Mazel
;
un jardin floral ;
Le jardin des Bassins d'Eugène
Une jardinerie (ventes de bambous et nombreuses autres
plantes) en accès libre.
Une grande boutique
Un snack en été.
|
Le Village de Saint-Sébastien-d'Aigrefeuille
Saint-Sébastien-d'Aigrefeuille est un petit
village du sud de la France. Le village est situé dans
le département du Gard en région Languedoc-Roussillon.
Le village de Saint-Sébastien-d'Aigrefeuille appartient
à l'arrondissement d'Alès et au canton d'Anduze.
Le code postal du village de Saint-Sébastien-d'Aigrefeuille
est le 30140 et son code Insee est le 30298.
Géographie
:
L'altitude moyenne de Saint-Sébastien-d'Aigrefeuille
est de 200 mètres environ. Sa superficie est de 15.82 km².
Sa latitude est de 44.107 degrés Nord et sa longitude de
3.995 degrés Est. Les villes et villages proches de Saint-Sébastien-d'Aigrefeuille
sont : Générargues (30140) à 2.92 km, Mialet
(30140) à 4.19 km, Saint-Jean-du-Pin (30140) à 4.54
km, Corbès (30140) à 4.64 km, Saint-Paul-la-Coste
(30480) à 5.24 km.
(Les distances avec ces communes proches de Saint-Sébastien-d'Aigrefeuille
sont calculées à vol d'oiseau - Voir la liste des
villes et villages du Gard)
Population et logements
:
La population de Saint-Sébastien-d'Aigrefeuille
était de 435 au recensement de 1999, 486 en 2006, 494 en
2007 et 507 en 2009. La densité de population du village
est de 32.05 habitants par km².
Le nombre de logements sur la commune a été estimé
à 315 en 2007. Ces logements se composent de 205 résidences
principales, 93 résidences secondaires ou occasionnels
ainsi que 17 logements vacants.
La
reconstrution d'une citée minière
Depuis une quinzaine dannées, le laboratoire
HydroSciences et ses partenaires effectuent des observations hydrologiques,
géochimiques et microbiologiques sur le site de lancienne
mine de plomb-zinc de Carnoulès dans le Gard. La mine est
située sur le bassin Cévenol du Rhône. Cette
exploitation, fermée depuis 1962, a laissé 1 km²
de carrières et un stock de 1,5 MT de déchets contenant
des sulfures, des métaux et de larsenic.
Impacts
des anciennes exploitations minières autour d'Anduze
Diagnostic environnemental
personnalisé / sols, eaux, végétaux,
poussières
Bruit
de fond
Une citoyenne habitante d'Anduze dont le
foyer à été jugé prioritaire,
nous communique l'analyse de Géodéris
Situation technique du site : Site en cours de traitement, objectifs
de réhabilitation et choix techniques définis ou
en cours de mise en oeuvre Site en cours de traitement, objectifs
de réhabilitation et choix techniques définis ou
en cours de mise en oeuvre
Date de publication de la fiche : 06/01/2016
Auteur de la qualification : DREAL (389)
Caractérisation
du site à la date du 27/07/2015
Description du site
: Il sagit dun dépôt de sables
et de boues riches en sulfures (pyrite arséniée
et galène) issus d'une installation de traitement de minerais
de plomb et de zinc (stériles de flottation) qui a cessé
son activité en 1963.
Le dépôt de 500 000 m3 environ, est constitué
au milieu et en travers de la partie amont du bassin versant du
ruisseau REIGOUS sur lemplacement dune ancienne source.
Un filet deau polluée surgit à la base en
aval du dépôt qui fonctionne comme un réacteur
hydrogéochimique "naturel" produisant des eaux
acides, sulfatées et riches en métaux par oxydation
des sulfures. Cette « source » forme le REIGOUS qui
s'écoule en aval du dépôt sur 1,5 km dans
une zone rocheuse non occupée, avant de rejoindre la rivière
AMOUS qui elle même rejoint le GARDON DANDUZE 5 km
plus loin.
Description qualitative
:
La procédure d'abandon légal de la mine de plomb
de Saint Sébastien d'Aigrefeuille (30) par la Société
Minière et Métallurgique de Penarroya (SMMP) a abouti
le 24/10/1963 (Arrêté Préfectoral (AP) pris
au titre du Code minier).
Le dépôt de stériles constituant barrage sur
le lit du ruisseau REIGOUS et les rejets dans celui-ci ont cependant
continué d'être réglementés au titre
de la police des eaux (AP du 7 mars 1963, services concernés
DDAF, DDASS).
Dès 1955 les riverains (associations, communes) se sont
plaints d'une pollution du REIGOUS, de l'AMOUS et du GARDON, par
l'arsenic, le plomb, l'hydroxyde ferrique.
A la suite de forts orages survenus en septembre et octobre 1976,
une partie importante des produits (300 000 t) a été
emportée (le 25/10/1976) dans un torrent de boue recouvrant
de sables à sulfures les prairies en bordure de l'AMOUS.
La DDAF et le département du Gard ont alors conduit, avec
participation du dernier exploitant, Metaleurop, des travaux de
remodelage, de protection et de drainage du dépôt
de stériles (fin des travaux en 1982) dans le but de stabiliser
physiquement la masse des sables, de limiter les quantités
d'eau percolant à travers, et de limiter les quantités
de polluants émis en aval du dépôt.
Les lits du REIGOUS et de l'AMOUS ont également été
nettoyés.
Les travaux ont été financés par l'ancien
exploitant SMMP, le Conseil Général du Gard, le
ministère de l'environnement à travers l'ANRED,
l'Agence de l'Eau RMC et les propriétaires des terrains
sur lesquels est constitué le dépôt.
Une surveillance des ouvrages par suivi topométrique du
site a continué d'être exercée sous contrôle
de la DDAF avec financement du conseil gnéral.
Situation en 2000
:
En 2000 les terrains sont propriété de la commune
de Saint Sébastien d'Aigrefeuille.
Les eaux de percolation qui coulent en aval du dépôt
sont très acides (pH 2,7 à 3,7) et chargées
en fer (800 à 1600 mg/l), en arsenic (80 à 300 mg/l)
en zinc (7 à 25 mg/l), en plomb (5 mg/l), et en cadmium.
Des phénomènes d'épuration naturelle permettent
une nette diminution de la concentration en arsenic tout au long
des 2 km du ruisseau issu du dépôt.
Le flux mensuel d'arsenic est indiqué par l'INERIS comme
relativement variable (57-800 kg/mois).
Le REIGOUS reçoit également des eaux acides et chargées
en métaux en provenance du gisement métallique située
à l'ouest (en particulier des zones découvertes
par les anciens travaux).
Le REIGOUS traverse aussi des zones constituées par des
sables provenant probablement d'anciens dépôts "miniers".
Dès la confluence avec l'Amous, il y a une forte dilution
et précipitation spectaculaire du fer (hydroxyde ferrique)
avec coloration rouge des eaux.
L'impact des eaux du REIGOUS sur l'AMOUS est visible (quasi absence
de vie piscicole - concentrations en arsenic et en plomb supérieures
aux normes de potabilité).
Le projet de SAGE du Gardon signale le site de Saint Sébastien
d'Aigrefeuille comme problématique.
Il est notamment constaté que :
- les actions d'entretien et de surveillance des ouvrages de protection
du dépôt semblent moins rigoureuses;
- la station de traitement des eaux issues du dépôt,
prévue pour une deuxième phase d'action après
stabilisation de l'ouvrage, travaux 1982, n'est plus évoquée.
Diagnostic de l'INERIS
et suites données en 2001 :
A la demande de la DRIRE, l'INERIS a réalisé un
1er diagnostic de la situation et a conclu à la nécessité
de réaliser une EDR en complément du projet de réhabilitation
élaboré par la commune de Saint Sébastien
d'Aigrefeuille.
Par ailleurs, suite à la communication de ce diagnostic,
la DDCCRF a effectué des prélèvements et
contrôles sur la production du maraîcher de St Sébastien
d'Aigrefeuille.
Les résultats ont conduit à interdire (arrêté
municipal du 3 mai 2002) la production et la mise sur le marché
de certains fruits et légumes pour l'année 2002.
Sur demande de la DRIRE, l'INERIS a présenté un
cahier des charges pour les études de réhabilitation.
Celui-ci a été validé par lensemble
des acteurs locaux, notamment par le comité syndical du
Syndicat Mixte d'Aménagement et de Gestion Hydraulique
(SMAGH) des Gardons lors de sa réunion du 12 février
2002, au cours de laquelle il en acceptait la maîtrise d'ouvrage
déléguée par la commune.
Inondations de septembre
2002 et suites :
Les précipitations exceptionnelles des 8 et 9 septembre
2002 ont provoqué plusieurs dégradations brutales
dans les ouvrages de protection du dépôt. Les scientifiques
de l'université de Montpellier y ont signalé une
situation physico-chimique à nouveau évolutive.
Fin 2002 le lancement des appels d'offres pour la réalisation
des études n'était pas encore engagé, aussi,
sur proposition de l'inspection des installations classées,
le préfet a prescrit le 23 septembre 2003 au producteur
du dépôt, la SMMP devenue Metaleurop, la mise en
sécurité du site et la surveillance des effluents
et des eaux. Cet AP a fait lobjet dun recours de lexploitant
au Tribunal Administratif (TA) de Montpellier.
L'AP du 23/09/2003 n'étant pas respecté, celui
du 26 février 2004, met en demeure Metaleurop de respecter
les mesures prescrites qui présentent un caractère
d'urgence; ce dernier AP a été suivi en septembre
2004 d'un AP de consignation. Metaleurop a alors engagé
une étude sur la stabilité de la digue et a demandé
la suspension de l'AP de consignation (accordée).
Des travaux de mise en sécurité et de restauration
des protections hydrauliques détruites par les inondations
de 09/2002 ont été réalisés en 2004
par le SMAGE des Gardons avec la participation de Metaleurop.
En septembre 2006, l'étude de stabilité de la digue
a été remise à la DRIRE; elle écarte
tout risque de rupture à court terme mais préconise
des mesures de surveillance et d'entretien pour garantir la pérennité
de l'ouvrage. Cette étude a été confiée
pour analyse à un tiers expert.
Le tribunal administratif s'est prononcé le 15 juin 2007
par le rejet des requêtes présentées par Metaleurop.
Metaleurop a fait appel de ce jugement, début août
2007 auprès de la cour administrative d'appel de Marseille.
Après examen du rapport d'analyse critique, reçu
en décembre 2007, la DRIRE a sollicité Recylex,
nouveau nom de Métaleurop, en vue de la définition
de solutions garantissant la stabilité du dépôt
de manière pérenne et transmis tous ces éléments,
notamment les deux rapports d'étude, afin qu'ils soient
portés à la connaissance du maire de la commune.
La cour administrative de Marseille a conclu le 3 décembre
2009 que le dépôt de stériles relève
de la réglementation des installations classées
pour la protection de l'environnement, mais en application du
principe de la prescription trentenaire, son jugement annule les
articles des arrêtés préfectoraux de 2003
et 2004, ainsi que l'arrêté de consignation lui-même,
mettant les frais à la charge de l'ancien exploitant.
Une Commission Locale d'Information et de Surveillance (CLIS)
a été créée, et s'est réunie
pour la première fois le 10 février 2010.
Le Ministère en charge de l'écologie a été
sollicité en vue d'une intervention de l'ADEME afin de
conduire le projet de mise en sécurité du site priorisant
la stabilité du dépôt. Par courrier du 21
juillet 2010, le Ministre d'Etat a fait part au Préfet
de Gard qu'une intervention de l'ADEME sur ce site était
justifiée.
Les arrêtés préfectoraux de travaux d'office
et d'occupation des terrains ont été pris en novembre
2010.Des travaux de protection à court terme du dépôt
ont été réalisés en 2012 :
- création d'une piste d'accès au mur de soutènement,
- installation d'une clôture, d'un portail et de panneaux
d'information,
- entretien des fossés,
- installation d'éléments provisoires de suivi et
de gestion des eaux .
Un suivi de la stabilité du mur de soutènement
a été mis en place pour 2 ans .
Des études et un avant-projet en vue d'une gestion durable
du dépôt ont été réalisés
.
Les travaux prévus visent à limiter les infiltrations
d'eaux pluviales dans le massif de déchets et à
éviter les dommages en cas de précipitations intenses
( épisode cévenol ) .
Des investigations ont été réalisées
sur les sols, les eaux et les végétaux dans les
environs du dépôt ( ancienne usine de traitement,
zone d'extraction de minerai, aval hydraulique de l'activité
minière ) .
Elles ont mis en évidence l'étendue de la zone impactée
.
Elles n'ont pas révélé de risque avéré
pour la santé publique mais des incertitudes qui feront
l'objet d'investigations complémentaires ( ex : dépistage
du saturnisme infantile ) et ont conduit à recommander
à la population locale d'adopter quelques règles
d'hygiène pour réduire ce risque .
Une réunion publique a été organisée
le 16 juillet 2013 .
Par lettre du 13 décembre 2013, le ministre de l'écologie
a donné son accord au préfet du Gard pour une nouvelle
intervention de l'ADEME ; les arrêtés préfectoraux
de travaux d'office et d'occupation des sols ont été
pris en juillet 2014 .
Il est prévu :
- la mise en sécurité à long terme du dépôt
de stériles par confortement du mur de soutènement
, remise en état et réalisation d'ouvrages complémentaires
de collecte des eaux ;
- le suivi de l'impact des travaux sur l'air et sur l'eau avec
réalisation d'un point zéro avant travaux ;
- des investigations complémentaires sur la pollution des
anciens bâtiments et ouvrages des activités industrielles
et sur la pollution des sols de la zone inondable de l'Amous sur
la commune de Générargues ;
- une étude de faisabilité d'un programme de phytomanagement
de l'ancienne mine ;
- la réalisation de documents d'information du public ;
- l'institution de servitudes de restriction d'usage .
LES EAUX GLACÉES DU CALCUL ÉGOÏSTE
VAGUES
Appel pour une signalisation publique des risques miniers
par Marc Laimé, vendredi 7 juillet 2017 @ 13:39
A linitiative dun réseau dacteurs
qui militent depuis de longues années contre lomerta
imposée sur les conséquences dramatiques pour
la santé humaine et lenvironnement des pollutions
très graves localisées autour de milliers danciens
sites miniers, la question de la signalisation de ces risques
à destination du public est désormais posée.
Existe-t-il une réglementation à
ce sujet ? Il semble bien que non, la cause est orpheline.
Il est pourtant urgent et vital de protéger
la population de toute exposition accidentelle ou chronique
aux matières dangereuses pour la santé de lhomme
et de lanimal qui sont présentes autour de tous
les anciens sites miniers.
Inspection
générale des affaires sociales
Contamination
par les métaux lourds d'habitants proches d'anciens sites
miniers du Gard
A.Besson (IGAS) A.Delaunay et P.Tardivon (CGEDD)
Divers rapports officiels et des alertes de la société
civile ont mis en évidence des teneurs élevées
de métaux lourds dans les sols et un risque pour la santé
d'habitants proches d'anciens sites miniers du Gard, dont l'exploitation
s'est étalée sur plus d'un siècle (du IInd
Empire aux années 1970), dans les communes de Saint-Félix-de-Pallières,
Saint-Sébastien-d'Aigrefeuille, Thoiras et Tornac.
La
Ministre de l'environnement, de l'énergie et de la mer,
la Ministre des affaires sociales et de la santé et la
Ministre du logement et de l'habitat durable ont,
par lettre du 3 mai 2016, mandaté le Conseil général
de l'environnement et du développement durable et l'Inspection
générale des affaires sociales pour une mission
relative à cette contamination.
Dans ce cadre, la mission présente :
-
des recommandations relatives à l'utilisation des données
de santé recueillies ;
-
un cadrage juridique des actions à entreprendre, le cas
échéant en matière d'expropriation et/ou
d'acquisition amiable des logements, ainsi que de relogement
des populations concernées ;
-
des recommandations relatives aux mesures conservatoires à
prendre d'urgence, dans l'attente des résultats définitifs
des expertises en cours, aux fins de protéger les personnes
dont la santé est susceptible d'être compromise
par leur exposition aux pollutions présentes sur ces
sites.
Géodéris, dans le rapport en cours, se penche
sur une étude du milieu.(sol, eau de consommation, légumes,
fruits, poussières, etc). L'Association
Causses-Cévennes d'action citoyenne, lors
de la premiere réunion du Comité de pilotage et
d'information de l'ancien site minier de la Croix de Pallière
du 7 juin 2016 et la deuxième du 10 octobre 2016, a demandé
que la qualié des eaux de baignade fasse aussi l'objet
d'un contrôle plus poussé que le contrôle
effectué à ce jour (bactériologie).
Sur l'Amous, L'arche;
sur le Gardon, Le Castel Rose, le Pont d'Anduze.
La question que nous
nous posons : est-ce que les elémens physico-chimiques
font l'objet d'un contrôle ?
Mines,
notre affaire à tous
Alors que les ravages provoqués par les anciennes mines
commencent à peine à être pris en compte, le
gouvernement et les industriels parlent d'en ouvrir de nouvelles.
Mais notre approvisionnement en matières premières
doit d'abord faire l'objet d'un débat citoyen.
Pour faire marcher vos ordinateurs, il faut 5 grammes d'or, et
s'il n'y a pas des mecs qui vont les chercher dans les entrailles
de la terre, vous aurez pas d'ordinateurs, les petits." Ancien
mineur et syndicaliste, Robert Montané (1) n'a pas fini de
voir mourir ses anciens collègues : dans un rayon de 15 km
autour de l'ex-mine de Salsigne, dans l'Aude, le taux de cancers
de l'estomac et des poumons est nettement plus élevé
que la moyenne française.
Fermée en 2004, la dernière mine d'or de France, qui
fut aussi l'une des plus importantes mines d'arsenic du monde, devrait
empoisonner l'eau, la terre et les êtres vivants de la région
pendant encore des milliers d'années. Depuis vingt ans, le
préfet avait d'ailleurs l'habitude de publier chaque année
un arrêté interdisant aux habitants de six communes
riveraines de vendre ou de donner des carottes, des salades ou encore
des poireaux (2), qui contenaient des quantités dangereuses
d'arsenic, de plomb, de mercure et de cadmium.
Le cas de Salsigne n'est que la partie émergée
d'un énorme iceberg. Déchets radioactifs dans le Limousin,
mouvements de terrain en Lorraine et dans le Nord-Pas-de-Calais,
remontée et pollution des nappes phréatiques, émanations
de gaz, déchets riches en métaux lourds
Régulièrement,
la loi du silence qui empêche les mineurs de " cracher
dans la soupe " est brisée, et de nouveaux scandales
sanitaires sont révélés - sans compter les
territoires socialement et économiquement dévastés.
" Sur une période de 150 ans, des centaines de sites
miniers ont ouvert en France, rappelle un ingénieur des mines,
membre de l'association Ingénieurs sans frontières
- Systèmes extractifs et environnements (ISF SystExt). Il
y a un gros passif à assumer. " Mais la plupart du temps,
ce passif est enterré. En 1990, la dernière usine
de charbon a fermé dans le Nord-Pas-de-Calais. En 1998, c'était
le tour du fer de Lorraine, et en 2001, celui de l'uranium du Limousin.
Les gisements les plus riches en minerais avaient déjà
été exploités, et ceux qui restaient n'étaient
plus assez rentables face à la concurrence internationale.
L'industrie minière semblait appartenir au passé.
Elle n'a pourtant jamais complètement disparu. Ouverte en
1991, une petite mine de bauxite, dans l'Hérault, fonctionne
encore. En 2012, une autre a ouvert dans le même secteur.
Et en 2013, patatras : pour la première fois depuis une trentaine
d'années, l'Etat a accordé des permis d'exploration
en vue d'exploiter des métaux. Huit permis ont été
attribués à des sociétés privées,
et neuf autres sont en attente (3). La trêve minière,
en France hexagonale, aura duré à peine une dizaine
d'années.
Une question de rentabilité
Pourquoi ce regain d'intérêt pour le
sous-sol français ? C'est avant tout une question de rentabilité
: la hausse des prix des métaux rend économiquement
intéressants des gisements qui ne l'étaient pas auparavant.
Cette hausse des prix s'explique, en partie, par une croissance
de la demande. Les objets fabriqués sont de plus en plus
complexes, et les pays émergents consomment davantage de
matières premières minérales qu'autrefois.
(4) On parle également de la posture d'Arnaud Montebourg,
ancien ministre du Redressement productif, qui voulait relancer
l'industrie minière, et de la volonté de l'Union européenne
de sécuriser son approvisionnement en matières premières
stratégiques.
Mais il y a des raisons plus profondes à ce renouveau : l'industrie
minière est inscrite dans les gènes de l'économie
française. " Pendant cent ans, la France a été
l'un des plus grands pays miniers d'Europe, souligne notre militant
d'ISF SystExt. Le pays s'est forgé sur cette industrie qui
a fait sa richesse, et a développé de grands savoirs.
Des batteries de gens du BRGM (Bureau de recherches géologiques
et minières, Ndlr) partaient en expatriation pour ouvrir
des mines. Ce sont eux, par exemple, qui ont découvert le
site de Yanacocha, au Pérou, qui est aujourd'hui une gigantesque
mine d'or à ciel ouvert et qui constitue un scandale humain
et écologique. " Les écoles des Mines sont encore
un lieu de formation des élites françaises, signe
que ce corps de métier a marqué durablement le tissu
social et économique du pays. Il existe donc toujours, en
France, un vivier d'ingénieurs et d'investisseurs convaincus
de l'intérêt d'exploiter les minerais.
Ce qui a changé, c'est que les citoyens revendiquent désormais
un droit de regard et de décision sur cette activité
opaque. Un peu partout en France, des collectifs s'opposent aux
nouveaux projets et se mobilisent pour que les dégâts
provoqués par les anciennes exploitations soient pris en
compte. Extraire des métaux : pour qui, pour quoi ? Cette
question mérite des réponses collectives, et ne peut
être laissée aux seules mains du petit monde de l'industrie
minière.
Saint-Sébastien-d'Aigrefeuille
/ Préfecture du Gard / ADEME
Arrêté
Préfectoral de Travaux dOffice du 2/07/2014
Présentation
des travaux sur le stockage de résidus / Réunion
en mairie du 24 novembre 2016
Les travaux ont
commencés, plus 2 000 000 € sont engagés, C'est
l'ADEME qui est à l'oeuvre avec d'autres partenaires comme
l'Université de Montpellier, le CNRS et les principaux
acteurs comme l'ARS, ICF, DREAL, et j'en oubli.
- Conforter le mur le soutènement
- Redimensionner et remettre en état les réseaux
- Réduire la quantité deau qui sinfiltre
dans le massif
- Réduire les écoulements en aval du mur
- Permettre la maintenance à long terme
- Créer une piste de maintenance
- Fermer les accès
- Mettre en place une télésurveillance (eaux, débits)
- Evaluer les débits et concentrations résiduelles
- Phase de suivi après les travaux(2 ans)
etc.
Lire
l'intégralité de la présentation
Nous
allons essayer de mettre en résau et diffuser toutes les
informations qui nous sont communiquées, par les services
de l'état comme par exemple DDTM, BRGM, INERIS, GEODERIS,
et par des associations menant une ou des actions relatives à
des risques miniers et pollution minière ou industrielle
dans notre région et en France.
Commentaires de nos lecteurs
Comme on nous
dit que lutilisation de la Bauxaline pour la dépollution
des sols et des déchets (miniers par exemple) est
lune des filières les plus prometteuses, voila
donc une solution toutr trouvée...
Pourquoi ne faudrait-il
pas rajouter un peu de arsenic,
sélénium, aluminium, fer, titane, plomb, thorium
et uranium (radioactifs), mercure, cadmium, chrome.
Va-t-on, ici
aussi, combattre la pollution avec de la pollution ?
Philippe D.
La bauxaline ne serait plus à l'ordre du jour car
elle contiendrait de 9 à 15 % d'oxyde de titane,
qui serait cancérigène.
http://presse.inra.fr/Communiques-de-presse/Additif-alimentaire-E171
Enrichissez
le débat en donnant votre opinion...adhca@live.fr
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Association
Causses-Cévennes d'action citoyenne
Avenue du Devois, Le Devois, Saint Sauveur Camprieu, 30750, tel 0467826111.
Site internet : http://www.accac.eu
Email: adhca@live.fr
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Étude
d'un programme
de réaménagement
et de la faisabilité
du phytomanagement
de la mine de
Saint-Sébastien-
d'Aigrefeuille
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