En
élaboration
Mots clés : Forest
Focus,RENECOFOR, IPC Forest, écosystème forestier, pollution
atmosphérique, prévention des incendies, diversité
biologique, changement climatique, stockage de carbone, protection
des forêts, acidification, eutrophisation, Soufre, Métaux
lourds, ozone, protocole de Göteborg,
Comme inrction, voici le prologue
La France est partie
à la convention sur la pollution atmosphérique
transfrontière à longue distance du 13 novembre
1979, qu'elle a approuvée en 1981 et qui comporte aujourd'hui
quarante-neuf Parties.
Cette convention
comporte huit protocoles. La France en a déjà
approuvé sept, adoptés respectivement en 1984
(protocole EMEP : surveillance et évaluation), 1985
(premier protocole Soufre), 1988 (protocole NOx), 1991 (protocole
COVnm), 1994 (deuxième protocole Soufre) et 1998 (protocole
POPs et protocole Métaux lourds).Le huitième
et présent protocole, relatif à la réduction
de l'acidification, de l'eutrophisation et de l'ozone troposphérique,
a été adopté par l'organe exécutif
de la convention, à Göteborg (Suède), le
30 novembre 1999 : la France a signé ce protocole le
1er décembre 1999.
Le conseil de l'Union Européenne a approuvé
l'adhésion de la Communauté européenne
au protocole par décision en date du 22 mai 2003.
Le protocole est entré en vigueur le 17 mai 2005 suite
à sa ratification par le Portugal, seizième
Partie au protocole, intervenue le 16 février 2005.
PRINCIPALES DISPOSITIONS - CARACTÈRE NOVATEUR
Le protocole de
Göteborg s'inscrit parmi les protocoles à la convention
de Genève en prenant le relais de protocoles antérieurs
visant à la réduction des émissions
- 3 -
de trois polluants (dioxyde de soufre, oxydes d'azote et composés
organiques volatils) et en introduisant la prise en compte
de l'ammoniac qui contribue tant à l'acidification
qu'à l'eutrophisation.
Dans cet objectif,
il établit, en prenant en compte le principe de précaution
défini dans la déclaration de Rio sur l'environnement
et le développement, un cadre contraignant associant
aux obligations techniques fondamentales détaillées
dans une série de neuf annexes, pédagogie préventive
et contrôle.
Ainsi met-il l'accent sur la communication visant à
sensibiliser le public (article 5), l'échange d'information
et de technologie (article 4) et la recherche et le
développement (article 8).
Le contrôle des obligations des Parties passe par la
communication d'informations (article 7) et leur examen (article
10). Un comité d'application veille au respect, par
les Parties, de leurs obligations et une commission de conciliation
est créée en cas de différends.
Le protocole de Göteborg présente un caractère
novateur de par son approche " multi-polluants multieffets
" pour lutter contre les phénomènes d'acidification,
d'eutrophisation et l'ozone troposphérique (annexe
I du protocole).
Il fixe, pour chaque partie à la convention, des niveaux
d'émission maximaux autorisés (plafonds d'émission)
pour les quatre principaux polluants précurseurs responsables
de l'acidification, l'eutrophisation ou l'ozone troposphérique
: le dioxyde de soufre, les oxydes d'azote, les composés
organiques volatils et l'ammoniac (annexe II du protocole).
Ces plafonds, qui doivent être atteints avant 2010,
ont été négociés sur la base des
évaluations scientifiques des effets de la pollution,
avec un objectif d'optimisation économique entre les
différentes Parties à la convention.
- 4 -
L'application du protocole en France conduira en 2010 à
une réduction des émissions d'au moins 40 %
pour le dioxyde de soufre, de 40 % pour les oxydes d'azote,
de 34 % pour les composés organiques volatils et de
1 % pour l'ammoniac par rapport aux émissions de l'année
2000.
Le protocole fixe également des valeurs limites pour
des sources d'émission particulières fixes (annexes
IV, V et VI du protocole) et des valeurs limites pour les
carburants et les sources mobiles nouvelles (annexe VIII du
protocole) ; il impose l'utilisation des meilleures techniques
disponibles pour maintenir ces émissions à un
faible niveau.
Enfin, le protocole indique les mesures spécifiques
à prendre pour lutter contre les émissions d'ammoniac
des sources agricoles (annexe IX du protocole).
Les documents d'orientation qui ont été adoptés
en même temps que le protocole fournissent une vaste
gamme de techniques de dépollution et d'instruments
économiques pour réduire les émissions
dans les secteurs concernés, y compris le secteur des
transports.
INTERET DU PROTOCOLE
L'acidification,
l'eutrophisation et l'ozone troposphérique affectent
de manière conséquente l'environnement et la
santé humaine en France et en Europe.
Les oxydes d'azote, le soufre et les composés organiques
volatils émis, ainsi que les polluants secondaires
comme l'ozone et les produits de réaction de l'ammoniac,
sont transportés dans l'atmosphère sur de longues
distances.
Les bénéfices attendus du protocole de Göteborg,
en termes de protection de la santé humaine et de l'environnement,
apparaissent particulièrement importants :
lors de l'élaboration du protocole, il a été
estimé que sa mise en oeuvre permettra, dans l'ensemble
de l'Europe, de ramener à 15 millions d'hectares -
contre 93 millions d'hectares en 1990 - l'étendue de
la zone touchée par des niveaux d'acidification excessifs
;
- quant aux zones qui connaissent des niveaux d'eutrophisation
excessifs, leur étendue sera ramenée de 165
millions d'hectares en 1990 à 108 millions d'hectares
;
- le nombre de journées où les niveaux d'ozone
sont excessifs sera réduit de moitié, et les
niveaux de particules diminueront également. On estime
que par rapport à 1990, le nombre d'années de
vie perdues du fait de l'exposition chronique aux particules
aura diminué de 2 300 000 en 2010 (estimation de la
réduction de l'espérance de vie causée
par l'exposition à la pollution sur le long terme).
On estime en outre que le nombre de cas de décès
prématurés liés à des jours où
les niveaux d'ozone et de particules dans
l'air sont particulièrement élevés diminuera
d'environ 47 500 (de tels cas affectant principalement les
personnes souffrant déjà de maladies cardiaques
ou pulmonaires) ; - l'exposition de la végétation
à des niveaux d'ozone excessifs sera réduite
de 44 % par rapport à 1990.
Pour ces motifs, la ratification par la France du protocole
à la convention de Genève sur la pollution atmosphérique
transfrontière à longue distance relatif à
la réduction de l'acidification, de l'eutrophisation
et de l'ozone troposphérique, représente un
enjeu important.
Telles sont les principales observations qu'appelle le protocole
à la convention de Genève sur la pollution atmosphérique
transfrontière à longue distance, relatif à
la réduction de l'acidification, de l'eutrophisation
et de l'ozone troposphérique, qui, comportant des dispositions
de nature législative, est soumis au Parlement en vertu
de l'article 53de la Constitution.
|
Le
mont Aigoual héberge la placette
HEP 30, un programe extraordinaire : RENECOFOR
Programme
soutenu financièrement par :
- le ministère de lAgriculture, de lAgroalimentaire
et de la Forêt
- le ministère de lEcologie, du Développement
Durable et de lEnergie
- lAgence de lenvironnement et de la maîtrise de
lénergie
- lOffice national des forêts
Le réseau RENECOFOR (réseau national de suivi à
long terme des écosystèmes forestiers) a été
créé en 1992 par lOffice national des forêts
(ONF) afin de compléter le système de surveillance
sanitaire des forêts françaises (Barthod,
1994). Il répond à lengagement
international de la France à la convention de Genève
sur les pollutions transfrontières à longue distance,
à la suite de lépisode des « pluies acides
» et des questionnements apparus en Europe sur leurs conséquences
pour les forêts. Il constitue la partie française dun
ensemble européen denviron 800 placettes permanentes
installées dans une quarantaine de pays niveau II
du Programme international concerté sur l'évaluation
et la surveillance des effets de la pollution atmosphérique
sur les forêts (ICP
F orests). Il répond aux exigences de la
résolution S1 de la Conférence ministérielle
sur la protection des forêts en Europe, qui
sest tenue en 1990 à Strasbourg et aux règlements
communautaires publiés depuis (les derniers en date : «
Forest
Focus » et LIFE+).
Des 3 réseaux français de surveillance, qui ont été
établis de manière cohérente, RENECOFOR est
celui qui collecte le plus grand nombre dobservations. Sa
conception a bénéficié des acquis du programme
de recherche DEFORPA (dépérissement
des forêts attribué à la pollution atmosphérique)
mené de 1984 à 1991 (Landmann
et Bonneau, 1995).
L'organisation basée sur la contribution denviron
250 agents de lONF et de multiples partenaires externes a
permis encore en 2014 de mener à bien les tâches prévues
dans son calendrier dactivité. Les travaux de valorisation
des données apportent des résultats inédits
sur les variations spatiales et temporelles de différents
paramètres de suivi des écosystèmes (dépôts
atmosphériques, propriétés des sols, diversité
fongique et floristique) et contribueront à accroître
les potentialités dutilisation du réseau. Léquipe
de coordination veille à apporter lappui nécessaire
aux projets de valorisation émanant dutilisateurs externes
et sattache à améliorer progressivement la visibilité
du réseau sur Internet.
Source : Bilan
technique de lannée 2014, Manuel
NICOLAS, Historique
et objectifs du réseau RENECOFOR
Objectifs initiaux
Lobjectif principal du réseau RENECOFOR est de détecter
déventuels changements à long terme dans le
fonctionnement dune grande variété décosystèmes
forestiers et de caractériser les raisons de ces changements.
Les objectifs officiels suivant la résolution n° 1 de
Strasbourg sont :
Chercher à établir des corrélations
entre la variation des facteurs environnementaux et la réaction
des écosystèmes à laide de 102 peuplements
étudiés intensivement sur lensemble du territoire
français métropolitain ;
Approfondir les connaissances sur lévolution
des écosystèmes français durant 30 ans (tendances,
variations, cycle nutritif) ;
Aider à déterminer le niveau des charges critiques
en polluants susceptibles de déstabiliser les forêts
;
Aider à mieux interpréter les observations
du réseau systématique européen de niveau I
(16 x 16 km).
Un cinquième objectif sest ajouté avec le temps
car il découle de lexpérience avec les utilisateurs
:
Augmenter de manière importante les connaissances
scientifiques de base sur les forêts et leur hétérogénéité.
(....)
Léquipe de coordination apporte son soutien aux projets
de valorisation émanant dutilisateurs externes.
· Elle met ses données à disposition gratuitement
sur demande et apporte son expertise pour leur utilisation. En 2014,
elle a répondu à 25 demandes de données. Le
programme ICP Forests a également relayé 10 demandes
faites auprès de sa base de données centralisée
et concernant des données émanant du réseau
RENECOFOR.
· Elle met également à disposition gratuitement
ses échantillons archivés (ex : thèse de S.
Negro) et ses sites (ex : projet PotenChêne), à condition
que les mesures envisagées ne portent pas atteinte aux missions
de suivi du réseau RENECOFOR.
Elle contribue à la construction et à la mise en
oeuvre de projets de recherche.
· Participation au comité de thèse de Sara
Negro (le 15/04/2014 à Chambéry) sur la
dynamique des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) provenant
des pollutions atmosphériques.
· Participation au comité de thèse de Simon
Rizzetto (le 02/12/2014 à Toulouse) sur la modélisation
de limpact du changement climatique et des dépôts
atmosphériques dazote sur les cycles biogéochimiques
et la flore forestière.
· Participation au projet PotenChêne (potentiel de
régénération des chênaies dans le contexte
du changement climatique: quel
avenir pour le masting et les consommateurs de glands ?),
retenu dans le cadre du programme « Biodiversité, gestion
forestière et politiques publiques » (réunion
de lancement le 09/10/2014 à Lyon) (projet soutenu par le
Département RDI de lONF).
· Participation au projet ENFORME (essENces
FORestières en MElange : contribution à
la qualité biologique et fonctionnelle des sols), placé
sur la liste complémentaire du programme « Biodiversité,
gestion forestière et politiques publiques » et finalement
non retenu.
· Participation au projet piCaSo (pilotage sylvicole et
contrôle pédologique des stocks de carbone des sols
forestiers), dans le cadre du programme
REACCTIF 2 (réunion de lancement le 26/11/2014
à Paris).
· Participation au projet INSENSE (Indicateurs de sensibilité
des écosystèmes forestiers soumis à une récolte
accrue de biomasse) dans le cadre du programme REACCTIF 2 : contribution
à la constitution dune base de données de sol
à partir de différentes sources de données
nationales (projet soutenu par le Département RDI de lONF).
· Participation à la rédaction du rapport
final du projet
SESAME (20 ans de mesureS des retombEeS AtMosphériquEs
en France) dans le cadre du programme PRIMEQUAL 2 (Pascaud et al.,
2014).
Elle participe à la construction doutils et dindicateurs
de suivi.
· Participation au projet PASSIFOR (Proposition
d'Amélioration du Système de Suivi de la biodiversité
FORestière) (Atelier les 26 et 27/08/2014 à
Paris).
· Participation à la préparation de lédition
2015 des Indicateurs de Gestion Durable des forêts françaises
métropolitaine.
Le réseau
Aujourd'hui le réseau est constitué de 102 sites
d'observation permanents qui seront suivis pendant au moins 30 ans
(1992-2022).
Ces sites d'observation sur le terrain sont dénommés
placettes
Les
objectifs
Accédez
au site ONF / RENECOFOR
Les résultats des mesures, observations
et prélévements
Les
réactions de la forêt aux évolutions du climat
Le changement climatique aura sûrement une influence sur
la répartition et la composition de la forêt. Pour
réaliser un suivi de la réaction de la forêt
à ces changements, deux outils sont en place : les observations
phénologiques et les mesures météorologiques.
L'alimentation
des arbres et la pollution atmosphérique
Afin de surveiller létat de santé des forêts,
il est indispensable de suivre lalimentation des arbres en
lien avec la fertilité des sols et les dépôts
atmosphériques.
Les
évolutions de la biodiversité
La forêt abrite une flore spécifique. Cette flore
est un précieux bio-indicateur de létat de santé
des écosystèmes forestiers et des changements environnementaux
(changement climatique, dépôts atmosphériques,
évolution du sol ...).
Un
réseau de surveillance
Les
objectifs
L'évaluation
25 ans de suivi
des écosystèmes forestiers
Résultats, acquis et perspectives de RENECOFOR
Ce hors série a été coordonné par Erwin
Ulrich, responsable du réseau RENECOFOR, avec laide
de Bernard Vannière (retraité, ancien
chef du Département Recherche ONF) et Christine Micheneau.
Ce 4ème numéro hors-série constitue les actes
du colloque "15 ans de suivi intensif des écosystèmes
forestiers : les résultats, les acquis et perspectives de
RENECOFOR (Réseau national de suivi à long terme des
écosystèmes forestiers)" qui s'est tenu à
Beaune du 9 au 11 mai 2007.
Ce colloque avait pour objectif de dresser le bilan de 15 années
d'existence de RENECOFOR et d'esquisser les perspectives d'avenir.
Les trois journées ont alterné des sessions de communication,
des ateliers de réflexion et des présentations de
posters. Ce riche contenu est intégralement restranscrit
dans ce numéro hors-série des Rendez-vous techniques.
Lisez
l'intégralité de ce document...Attention 43
Mo
Résultats de lenquête sur lévaluation
du réseau RENECOFOR
Résultats de lenquête sur lévaluation
du réseau RENECOFOR
15 septembre 2006
Rédigé par E. ULRICH, L. CROISE M. LANIER
Les résultats condensés présentés
dans ce document comprennent des regroupements en catégories
des réponses libres et des tableaux de synthèse.
Nous remercions beaucoup nos collègues de lInventaire
Forestier National (Pierre - Emmanuel Pinson et Jean-Luc Cousin)
davoir développé en temps et en heure ce questionnaire
complexe, ce qui a beaucoup contribué à laboutissement
de lenquête. Lenquête à duré
du 19 mai au 23 juin 2006.
2006 : Le
rapport final de la première évaluation du réseau
RENECOFOR
2006 :
Les avis du comité scientifique de l'ONF sur la question
: quelles évolutions possibles pour RENECOFOR ?
2013 : Le
rapport d'auto-évaluation support de la deuxième
évaluation, Manuel NICOLAS, Luc CROISE, Marc
LANIER, Sébastien CECCHINI
2013 : Le
rapport final de la deuxième évaluation du réseau
RENECOFOR, Laurent AUGUSTO, INRA-Bordeaux, France;
Catherine BASTIEN, INRA-Orléans, France; Eric DUFRENE,
CNRS, Université Paris-Sud XI, France; Christine FARCY
(présidente), Université de Louvain, Belgique; Jean-Christophe
HERVE, IGN, France; Hervé JACTEL, INRA-Bordeaux, France;
Elisabeth PANNATIER, Swiss Federal Research Institute-WSL, Suisse.
A la suite de sa deuxième évaluation
(2013), le réseau s'est doté d'un Comité
de pilotage scientifique, composé de chercheurs et de représentants
de ses bailleurs de fonds. Ce comité a pour but de suivre
les activités du réseau d'année en année
et de lui apporter expertise et appui dans ses orientations.
L'année 2014 a été marquée
notamment (outre les activités de suivi et de maintenance
annuelles des sites du réseau) par :
l'organisation de deux campagnes quinquennales
d'inventaires dendrométriques (2014/2015) et d'inventaires
floristiques (2015) sur l'ensemble des 102 sites
des résultats d'analyse de données concernant les
tendances des dépôts atmosphériques, l'évolution
des propriétés des sols, les variations des cortèges
de champignons supérieurs
des contributions aux travaux des chercheurs dans des domaines
variés, tant au plan national qu'au plan international.
Le
bilan technique de l'année 2014
Gestion durable : L'observation à long terme
Le dispositif de surveillance de la santé des forêts
en France
Ce dispositif repose sur trois réseaux de
surveillance : le réseau des correspondants observateurs,
le réseau systématique 16x16 km et le réseau
RENECOFOR. Ces réseaux, qui ont une couverture nationale,
répondent chacun à des objectifs distincts qui ne
pourraient être remplis par un réseau unique. Ces
deux réseaux sont donc complémentaires et collaborent
beaucoup.
Il répond à des objectifs multiples
couvrant l'expertise phytosanitaire, le suivi dans le temps et
dans l'espace de l'état sanitaire des forêts et des
populations de ravageurs, et une meilleure compréhension
des facteurs impliqués dans le fonctionnement des écosystèmes
forestiers.
Lisez
la suite ...
Voici,
à titre d'exemple, quelques uns des travaux, rapports,
études, thèses, articles, ils sont plusieurs
centaines, chacun ont été élaborés
grâce aux prélèvements et observation de cet
extraordinaire programme.
Lisez
la suite...
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la suite...
Le
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Tous les mercredis depuis plus de 25 ans, un agent de
l'ONF, Joël Monzo et aujourd'hui Francis Millau,
effectue un relevé d'échantillons dans la
station HET 30 au col de la Seyrrerède et dans
la forêt au pied du mont Aigoual. Cette même
opération est effectuée dans plus de 100
autres stations.
Ces prélèvements font l'objet d'analyses
et d'un archivage. Ils constituent une banque de données.
Cette banque de données est à la disposition
de la recherche. Il s'agit de l'analyse de la contamination
en milieu forestier, son impact sur le sol et la flore.
Association
Causses-Cévennes d'action citoyenne
a obtenu la communication de plusieurs centaines de documents
que nous mettons à la disposition, sur simple demande,
aux personnes désireuses d'en savoir plus.
|
Tous nos remerciments et notre admiration à la formidable
équipe qui, avec passion, fait vivre ce programe.
Les documents cités, cartes, illustrations, photos sont
protégés par la Loi © ONF
Association Causses-Cévennes d'action citoyenne
Avenue du Devois, Le Devois, Saint Sauveur Camprieu, 30750,
tel 0467826111.
Site internet : http://www.adhca.com,
Email: adhca@live.fr
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